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Recherche par lecteur : Pierre Luisoni

63 résultats. Page 3 sur 4.

Durée:2h. 50min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18835
Résumé: "On dirait que les Bohémiens et les Bohémiennes ne sont venus au monde que pour être voleurs, ils naissent de parents voleurs, ils s'élèvent parmi les voleurs, ils étudient pour devenir voleurs; et finalement ils sortent de là voleurs faits et parfaits en toute matière et à tout évènement. Le goût de voler et le vol sont chez eux comme des accidents inséparables qui ne s'en vont qu'avec la vie. Or donc, une femme de cette nation, vieille Bohémienne qui pouvait être gratifiée de la vétérance dans la science de Cacus, éleva, sous le nom de sa petite fille, une jeune enfant qu'elle appela Préciosa, et à laquelle elle enseigna tous ses talents, tous ses tours de bohème. Cette petite Préciosa devint la plus admirable danseuse de toute la bohémerie, la plus belle personne et la plus spirituelle qui se pût trouver, non point parmi les Bohémiens, mais parmi les plus belles et les plus spirituelles dames dont la renommée publiât alors les louanges."
Durée:6h.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:18832
Résumé: Si Brigitte Perrin est journaliste à la Télévision suisse romande, et politologue, Paul Grossrieder a été dominicain, diplomate, puis directeur du Comité international de la Croix-Rouge et vit aujourd'hui retraité à Charmey, en Gruyère, après une vie bien remplie. Ces deux Suisses qu'une génération sépare - exactement trente ans - abordent dans ce livre quelques grands thèmes qui n'ont rien à voir avec les images d'Epinal de vaches paissant dans de verts pâturages ou de chocolat incomparable, fabriqué par Lindt ou Nestlé. L'action humanitaire est une des caractéristiques helvétiques. Comme il y a beaucoup à faire dans ce domaine on ne sera pas surpris que Paul Grossrieder s'afflige que la Suisse ne consacre que 0.44% de son PIB à l'aide au développement, oubliant que ce genre d'aide publique n'est pas très morale puisqu'elle n'a rien à voir avec la générosité, mais tout à voir avec la charité forcée. Il ne faut pas oublier que les Suisses restent par ailleurs fort généreux, à titre privé, en dépit de la pression fiscale qu'ils subissent. On peut, de toute façon, s'interroger sur le bien-fondé d'une telle aide, qui permet de se donner bonne conscience, alors que dans le même temps d'aucuns s'affligent, comme Brigitte Perrin, que des produits en provenance de pays émergents viennent remplacer des produits suisses; alors que dans le même temps l'on empêche, par des mesures protectionnistes, des produits agricoles de l'hémisphère sud d'être vendus ici. Il faut savoir si l'on veut vraiment que ces pays se développent, sans leur faire l'aumône...
Durée:2h. 56min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:18822
Résumé: Mateo Falcone La bourse ou la vie ! Suivant les circonstances, on fait fi de l'une et on s'accroche à l'autre ! Dans le maquis corse, Mateo Falcone a la réputation d'être un fin tireur. Mais jamais il n'a dirigé son fusil contre un homme. Pourquoi faut-il que sa première victime soit son fils, le jeune Fortunato ? De la poudre et de l'or. Poudre aux yeux ! Le capitaine Ledoux espère tirer mille écus de Tamango, guerrier fameux et négrier devenu esclave à son tour. C'est compter sans la ruse du Noir. La magie aidant, il sème la révolte chez ses compagnons d'infortune. Vie ou fortune ! On les joue souvent aux dés ou au pistolet. Que ce soit dans une infernale partie de trictrac ou dans un combat singulier provoqué par les sortilèges d'un vase étrusque... Une mosaïque de nouvelles tout à la fois romantiques et sulfureuses.
Durée:1h. 52min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:18752
Résumé: Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son oeil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l'Antiquité. La planète change, ils changent aussi, ont tout à réinventer. «Soyons indulgents avec eux, ce sont des mutants», implore Michel Serres, par ailleurs sévère sur sa génération et la suivante, qui laisseront les sociétés occidentales en friche.(liberation.fr)
Durée:7h. 19min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:18653
Résumé: Les trois quarts des séparations et des divorces sont demandés par les femmes. Pour la première fois, un sociologue s'empare de ce fait de société, en analysant le récit des femmes qui ont rompu. Il découvre que la séparation n'est pas seulement une expérience de désenchantement et d'épreuves à franchir. Aussi douloureuse soit-elle, elle apparaît aussi comme une étape par laquelle la femme moderne s'affranchit. Cette émancipation revêt plusieurs formes. Certaines femmes se détachent pour survivre (mieux vaut divorcer que périr dans le couple), d'autres veulent passer à autre chose dans une logique de progression individuelle. Et puis il y a celles qui ne veulent plus porter le couple, jugeant que leur conjoint ne l'a pas assez investi. À chacune sa formule de séparation pourrait-on penser. Mais par un habile jeu de miroir, François de Singly nous présente l'expérience de la rupture comme le reflet de la vie conjugale : on se sépare comme on a vécu ensemble. Et on se sépare, aussi, pour vivre différemment, pour se trouver et s'accomplir.
Durée:4h. 50min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:18571
Résumé: Benoît Duteurtre signe une autobiographie qui retrace le point de départ de sa vocation de romancier et de critique musical. Il se replonge dans son adolescence et choisit de raconter son été 1976. Souvenirs de découvertes amoureuses. De passion poétique et musicale. Un roman qui retrace la genèse de son oeuvre.
Durée:6h. 50min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:18577
Résumé: « À treize ans, je perds toute ma famille en quelques semaines. Mon grand frère, parti seul à pied vers notre maison de Phnom Penh. Mon beau-frère médecin, exécuté au bord de la route. Mon père, qui décide de ne plus s'alimenter. Ma mère, qui s'allonge à l'hôpital de Mong, dans le lit où vient de mourir une de ses filles. Mes nièces et neveux. Tous emportés par la cruauté et la folie khmères rouges.J'étais sans famille. J'étais sans nom. J'étais sans visage. Ainsi je suis resté vivant, car je n'étais plus rien » Trente ans après la fin du régime de Pol Pot, qui fit 1, 7 million de morts, l'enfant est devenu un cinéaste réputé. Il décide de questionner un des grands responsables de ce génocide : Duch, qui n'est ni un homme banal ni un démon, mais un organisateur éduqué, un bourreau qui parle, oublie, ment, explique, travaille à sa légende. L'élimination est le récit de cette confrontation hors du commun.
Durée:8h. 15min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:18565
Résumé:
Durée:39min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:18481
Résumé: Le travail doit être maudit, comme l'enseignent les légendes sur le paradis tandis que la paresse doit être le but essentiel de l'homme. Mais c'est l'inverse qui s'est produit. C'est cette inversion que je voudrais tirer au clair.
Durée:2h. 18min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18473
Résumé: Rita est une américaine, la trentaine bien dépassée mais qui reste en très bonne condition physique . Aussi, pour faire plaisir à sa soeur Gwen mais aussi pour se prouver à elle-même qu'elle peut le faire, entreprend-elle l'ascension du Kilimandjaro, la plus haute montagne d'Afrique, accompagnée de 4 autres randonneurs américains, de guides et de nombreux porteurs. Cette périlleuse aventure n'est pas de tout repos car Rita et ses compagnons de fortune doivent surmonter de dures épreuves telles que le froid, la pluie et le mal d'altitude. Bref roman très bien écrit et qui se dévore en un rien de temps. L'écriture est claire, limpide et émouvante par moments car la montagne, bien qu'enchanteresse et attirant dans ses filets de nombreux touristes et alpinistes, peut parfois se montrer cruelle en retenant ceux qui ont voulu se mesurer à elle.
Durée:5h. 42min.
Genre littéraire:Contes et légendes
Numéro du livre:18453
Résumé: Voici un livre étonnant qui, dans son unité même, vous offre de multiples entrée, lecture et plaisirs ! Hé oui ! des plaisirs dans votre confrontation problématique avec la mort. Si vous aimez passionnément les contes, vingt-deux histoires vont semer en vous charme, rêve et angoisse. Si votre désir est d'entrouvrir les questions abyssales de l'imaginaire face à la mort, vous trouverez ici des voies vers une anthropologie des symboles fondamentaux. Si vous voulez apprendre le premier lexique des rites mortuaires accompagnés de leurs pratiques et leurs mythes, vous êtes initiés aux apports savants de l'ethnologie et de la thanatologie. Si vous aimez enfin entendre, encore et encore, la voix de textes fondateurs de nos approches universelles sur la mort, vous avez entre les mains, un petit manuel de méditation et de spiritualité allant de la Bible et des Grecs jusqu'à Montaigne, Freud, Jankéklévitch, et tant d'autres textes célèbres.
Durée:1h. 47min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18443
Résumé: Le narrateur découvre la jalousie et la trahison en lisant un sms sur le portable de la femme de sa vie. A plus de cinquante ans, deux divorces et de grands enfants, il se retrouve en pleine confusion sentimentale, animé de sentiments violents et contraires, alternant passion, colère, souffrance, doute, tristesse, regret, panique. L'insomnie redouble sa fixation sur Charlotte, jolie blonde fantasque dont il n'a jamais su capter le mystère et qui le renvoie à ses ruptures précédentes. Anatomie d'une déliaison, portrait d'un homme qui rêve d'une idole qui se comporterait en femme fidèle, ce sont tous les sentiments, jérémiades, déni, impuissance, complaisance, avec lesquels il faut bien vivre.
Durée:4h. 40min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18398
Résumé: A quarante-trois ans, Anna tombe follement amoureuse de Thomas. Elle vit avec Guillaume, avec qui elle mène depuis vingt ans une existence heureuse, exempte de routine et d'ennui. Thomas est un Guillaume bis, ter, une déclinaison de Guillaume en plus silencieux et plus isolé. Qu'il est étrange de quitter quelqu'un que l'on aime pour un autre que l'on aime tout autant ! Pour Anna, la question n'est pas de choisir, mais de bondir au-dessus de la tragédie. « Dans son cerveau c'est à chaque fois une sorte de cauchemar et pourtant il faut qu'elle y passe, il faut qu'elle passe par là, elle sait qu'elle doit entrer dans cette nuit, c'est pourtant dangereux, très dangereux, plus dangereux pour elle que pour ces deux hommes qui souffriront tour à tour de la perdre, c'est beaucoup plus grave pour elle, car elle, elle peut en mourir ou pire. » Sur le thème du discours amoureux, Anne Serre réussit à faire la part de ce qui revient à la morale et à la pénétration psychologique, sans jamais altérer la fraîcheur, la spontanéité des figures et des sentiments. Malgré le recours aux vocables qui semblent appartenir au langage de l'universel, la romancière invite à l'accompagner dans une recherche qui s'éloigne du rivage. Ici, l'extrême distance - la relation des événements -, comme contemplée une seconde fois - le récit postérieur au vécu -, se double désormais du sentiment d'une extrême proximité. Les débutants dépasse de beaucoup son cadre, qui confère à la puissance de la passion une dignité absolue.
Durée:1h. 22min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18372
Résumé: « Il y a des moments où l'histoire semble hésiter avant de prendre son élan : Hannibal quand il décide de passer les Alpes avec ses éléphants pour frapper Rome au coeur ; César sur les bords du Rubicon ; le général de Gaulle à l'aube du 17 juin 1940, quand il monte dans l'avion qui va l'emmener à Londres, vers une résistance qui peut paraître sans espoir. C'est un éclair de cet ordre que j'ai tenté de saisir : l'instant où Bonaparte, adulé par les Français qu'il a tirés de l'abîme, décide de devenir empereur. » À travers une conversation imaginaire et décisive entre Napoléon Bonaparte et Jean-Jacques Régis Cambacérès, son deuxième consul, Jean d'Ormesson explore la tension entre l'esprit révolutionnaire républicain et le désir de puissance. Il met en scène un Cambacérès ensorcelé par le charismatique Bonaparte. Si tous les mots prêtés à Bonaparte ont bien été prononcés par lui, l'auteur forge ce dialogue fictif à la veille de l'avènement du Premier Empire, aux Tuileries, vers le début de l'hiver 1803-1804.
Durée:1h. 48min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:18288
Résumé: Après la mort de sa femme, Monsieur de Sainte Colombe vit avec ses deux filles et sa viole pour compagnes. Ce passionné de musique, qui pouvait, avec sa viole, "imiter toutes les inflexions de la voix humaine" prendra comme élève Marin Marais, qui semble aspirer davantage à plaire au roi qu'à faire de la réelle musique...
Durée:3h. 40min.
Genre littéraire:Littérature érotique
Numéro du livre:18265
Résumé: « Aux marches du palais, aux marches du palais, y'a une tant belle fille lonla, y'a une tant belle fille... » D'amoureuse, la célèbre complainte se fait plus sensuelle sous la plume de cette avocate qui imagine librement que le palais de la chanson soit celui de la justice. Ses nouvelles invitent à explorer de façon singulière les arcanes du monde judiciaire... Car, des lambris des salles d'audience au parloir de prison en passant par l'antichambre des cabinets d'avocats, Olivia Paule pose un regard amusé sur ce monde qu'elle connaît bien ! Un regard amusé et... voyeur puisque c'est « depuis la coulisse » qu'elle dépeint les subtilités des codes, usages et pratiques de tous ces nobles serviteurs (acteurs ou auxiliaires) de la Justice avec un grand J que sont les magistrats, les avocats, les greffiers, les matons et autres procureurs... face aux simples prévenus ou citoyens non avertis, tous pauvres mortels que nous sommes.
Durée:3h. 33min.
Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:18262
Résumé: Philippe Dereux, artiste proche de Jean Dubuffet, a voué sa vie aux épluchures avec un amour et un émerveillement quasi mystiques. Il livre par ce traité sa philosophie de la vie avec tendresse, humour et sensualité. " J'arrive à un âge où, sauf imprévu, l'homme engagé sur le chemin de l'équilibre et la sagesse ne le quitte plus. Le vrai tournant de la vie, l'option définitive a lieu à quarante ans. Jusqu'à ce moment, le futur sage se contente d'accomplir son apprentissage, un long apprentissage. Le mien m'a conduit aux épluchures, je ne puis que m'en louer. L'homme a pour manie de se vouloir heureux et de se créer mille maux ou fatigues pour atteindre le bonheur. Il ne se doute pas lorsque celui-ci s'obtient, c'est toujours par surcroît et accident. Ainsi, les épluchures que je n'avais commencé à coller que tout à fait par hasard, sans but préconçu, «pour voir» comme disent les enfants, m'ont apporté la joie et la paix."
Durée:1h. 42min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:18217
Résumé: Qu'est-ce que le faux en art ? On pourrait le définir comme « le travail volontairement trompeur de personnages habiles visant à faire passer pour authentiques des imitations d'objets réels afin d'en tirer profit ». Ainsi, serait faussaire le copiste qui tenterait de faire passer son travail pour une oeuvre réelle d'un maître... Mais ce serait un peu trop simple et un peu court : que dire, en effet, d'un peintre qui signerait des faux qu'on lui attribue, par complicité ou par étourderie, parce qu'il y trouve avantage ou ne se souvient plus de ce qu'il a fait des années plus tôt ? Ou qui signe des feuilles vierges, comme Dali ? Que dire d'un faussaire qui n'imite pas des oeuvres existantes, mais en crée, comme Van Meegeren et ses Vermeer inconnus ? Ou des artisans russes qui, dans la banlieue parisienne, au milieu des années 1980, inventèrent de toutes pièces un mouvement pictural néo-impressionniste, l'École de Vladimir, que le régime communiste aurait occulté ? Surtout, au fond, est-ce le faussaire qui trompe le public ou le public qui ne demande qu'à être trompé ? D'autant plus que les faussaires sont des gens quelquefois sympathiques et souvent très divertissants...
Durée:5h. 15min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:18195
Résumé: Depuis qu'en 1931 l'expédition Dakar-Djibouti dirigée par Marcel Griaule découvrit les falaises de Bandiagara de l'actuel Mali, aucun peuple n'a été plus étudié que le peuple Dogon. Cet ouvrage n'est pas un livre d'ethnologie. L'auteur est Sékou Ogobara Dolo, il est le premier Dogon qui écrive sur les Dogons. Il n'a pas "écrit" son livre, il l'a d'abord parlé. Dans ce livre, le lecteur découvrira l'histoire familiale d'un Dogon chef des guides du district de Sanga et des deux villages d'Ogol-du-haut et d'Ogol-du-bas.
Durée:7h. 5min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:18113
Résumé: Affaibli physiquement par l'âge et la maladie, François Cavanna n'a rien perdu de sa verve ni de son insolence. Il propose avec Lune de miel un tableau habilement composé de souvenirs, de réflexions et d'anecdotes. Trois axes essentiels alternent au fil des chapitres : l'évocation du STO en Allemagne ; l'aventure Hara-Kiri/Charlie Hebdo ; les atteintes de l'âge (les médecins utilisent l'expression « lune de miel » pour désigner une période de rémission de la maladie de Parkinson). Le va-et-vient entre ces trois périodes procure sa légèreté au récit, qui ne cède jamais au gémissement malgré la tristesse de certains passages. La jeunesse en Allemagne est décrite avec une gouaille formidable. La période présente, marquée par les progrès de la maladie et des divers malheurs liés à l'âge, est égayée par la présence de Virginie, une lectrice fidèle qui est devenue la « gouvernante » du vieil homme. Beaucoup de tendresse, des coups de gueule bienvenus (notamment contre Philippe Val et quelques autres), d'innombrables anecdotes racontées avec la truculence et l'efficacité du grand amateur de Rabelais qu'est Cavanna : c'est le dernier baroud d'un vieux sanglier, chaleureux, virulent, amoureux de la vie et des plaisirs, mais aussi de la littérature et de ses puissances. En refermant le livre, on a le sentiment d'avoir fait quelques pas avec un type bien : ce n'est pas si fréquent.